De quoi "Asnières" est-il le nom ?

Voici la question que nous, étudiants d'une nouvelle génération, nous posons, trois ans seulement après le déménagement du département d'Etudes germaniques d'Asnières vers la maison mère, le campus de Censier dans le cinquième arrondissement de Paris.


Après déjà six éditions de la revue asnières-a-censier.fr, il semblait urgent de revenir sur l'ensemble des images et conceptions qui se rattachent au mot "asnières": l'Institut d'allemand d'Asnières (IAA), désormais historique, est aujourd'hui un site dangereux, fermé au public. Escortés par les téméraires Patrick Larney et Gérald Stieg, nous avons pris le risque de braver tous les dangers et de pousser la porte, au nez des vigiles féroces de l'EPAURIF. Voir ici les images de notre grand reportage exclusif dans le 92230.

 

Or que devient "asnières" après Asnières? Le site universitaire d'Asnières est désormais une coquille vide en attente de destruction, condamné à devenir un lieu de mémoire immatériel. Les souvenirs continuent de nourrir un état d'esprit particulier, conscient d'avoir innové en pratiquant une germanistique interdisciplinaire. Faut-il aujourd'hui pleurer l'âge d'or, s'inscrire modestement dans cette tradition ou gaiement tourner la page? Les portraits et les témoignages recueillis montrent qu'il y a diverses manières d'envisager "asnières" et son héritage.  

lgi et ala